dimanche 27 février 2011

Nou ja là alor nou vive.

Certains evenements sont passé cette semaine d'abord: le mardi soir j'ai réçu un appel d'une colleague avec qui je travaille ici en Guadeloupe. Elle m'appellait pour me dire qu'il y viens d'avait une énorme tremblement de terre dans l'ile du sud de la Nouvelle Zélande, en Christchurch. Tout de suite j'accrocha la téléphone et j'en suis sortie pour regarder les infos sur l'intrenet. J'étais boulerversé; j'ai vu un photo de la cathedrale écrasée et en panique, pleurant j'ai appellé ma grandmére pour savoir si mon frère était toujours vivant.
Je l'ai imaginé mort, disparu, coincé sous les milliers des tonnes de béton.
Puis j'ai pensé de ma tante, mon oncle, mes cousins, mes amies.  En fin tout le monde qui habite dans cette ville; les gens qui étaient au déjeuner, au boulot, à l'école, dans la rue quand ils ont eu le tremblement.
Heureusement, mon frère n'était pas en ville et ma tante et son époux sont survécu.
Le premier moment de panique est passé.
Sauf les tremblements continuent et le taux des morts augmentes.
La famille se reconnecte et on commence de nous rassurer "tous va bien? Tes amies? Tu a les nouvelles de ton pére?" et "Je t'aime, réponds moi quand tu récois cet message" et "Est-ce que tout le monde dans ta famille va bien".
Milliers personnes autours du monde s'asseoir devants des milliers d'ordinateurs pour éxprimé les memes sentiments: 'je pense de vous'.
Qu'est-ce qu'on peut faire? Christchurch, si familier avec ses rues bordé pars des arbres, maintenant détruite.

I just wanted to practice writing in French but because I only have a few minutes, I'll finish what I thought I might like to say last week in English. I'm thankful that all my family and friends have survived the earthquake unscathed: it has been a huge shock and for many people who have loved ones on the list of the 50 people still unaccounted for the worst may be yet to come.

I dedicate this post to the dead of Christchurch, my Aunty and Uncle, my cousins and also to my memories of the place: the people I've met there, the bars I've drunkenly rampaged through with cries of 'QUEERS RULE!', good times at my Aunty's house with family as I passed through. For despite it's homophobes, bad weather, and conformist mainstream attitudes to white society: it is a city where I've grown, explored and been loved. 

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